Une récente enquête a déclenché une immense stupéfaction en prouvant que le niveau de morbidité lié l’absorption de fumées tabagiques est fortement minoré.
Si on se base sur les résultats de cet article le niveau de morbidité du tabac serait dans les faits d’au moins quinze pour cent au dessus du taux de morbidité usuellement avancé. Le Tabac, un produit périlleux Est il encore essentiel de le signifier, le tabac appartient à la classe des produits les plus pernicieux disponibles. Actuellement, il est bel et bien entendu, au mépris des pleurnicheries aux mastodontes du tabac; que les les adeptes du tabac ont beaucoup plus de risques de mourir d’une série de 21 atteintes. Parmi ces traumatismes on peut citer : l’angine de poitrine, le cancer du larynx, l’accélération du passage au sida, l’otite etc.
S’il est indubitable que 21 maladies peut sembler déjà assez fantastique, en particulier si l’on prend en considération qu’elles engendrent plus de 6 millions de trépas annuels, il est en outre certain que la nicotine cause beaucoup de victimes supplémentaires non dénombrées. La raison de cette ineptie étant à trouver dans le fait que ces travers ne lui ont pas pour l’instant été catégoriquement assignés. Un article crédible Tous ceux qui entrepris de mettre en évidence la nocivité du tabac se sont implacablement ripostés que “rien n’avait jamais été catégoriquement confirmé” et platitudes identiques.
Ce travail va plaise au ciel, pour toujours tordre le cou à ce faux argument.
En effet on est en présence là d’une analyse des plus professionnelle, conduite à grande échelle par des scientifiques réputés comme des pontes par leurs pairs.
Visant un échantillon très large d’un million de personnes, l’étude s’est maintenue pendant 10 ans et la totalité des facteurs passibles de compromettre la fiabilité des données obtenues génération usage, d’alcool, sexe, catégorie raciale ont été prise en charge. La dramatique démonstration que cette analyse a aider à démonter que le tabac faisaient 17% plus de martyrs qu’on ne le pensait jusqu’à maintenant. Ce qui découle singulièrement du fait qu’on rebute mordicus d’apparenter expressément certaines infirmités au tabac. Parmi [ces dernières
ces maladies} on peut nommer entre autre : cancer de la langue excès de cholestérol, trouble de l’érection, l’hypertension artérielle etc.
Par suite il est devenu formel que l’on devait revoir à la hausse le total des morts de l’industrie de la cigarette, qui de six millions (à l’échelle mondiale) s’envolerait à plus de 7000000.
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