La lutte avec frappe, un sport bien à la sénégalaise n’a pas encore fini de parler d’elle-même. Il suffit juste de se rendre à la plage pour voir des centaines d’hommes torche nue se livrant à des entrainements intenses afin de se préparer un combat de lutte. Dans un pays sous développer comme le Sénégal, la lutte reste un espoir pour les jeunes afin de sortir leur famille de la misère. Mais la vraie question reste à savoir comment faire pour être au sommet et devenir le successeur de Yekini champion et l’actuel roi des arènes de la lutte sénégalaise.
Voici trois clés secrètes pouvant permettre aux lutteurs sénégalais d’optimiser leurs chances de devenir un futur champion, comme l’est aujourd’hui Eumeu Sène ou Modou Lo.
- L’entrainement : Pour être un lutteur sénégalais incontesté, il faut avant tout avoir la résistance et savoir protéger ses arrières. Pour y arriver, un acteur de la lutte sénégalaise a besoin de faire ses abdos, bref sa musculature pour pouvoir résister à un éventuel adversaire. Il suffit juste de voir un Balla Gaye 2 s’entraîner aux USA pour comprendre qu’il a la ferme volonté d’avoir la taille requise pour accéder au cercle des « VIP » de l’arène sénégalaise.
- Le mystique : Certes cette pratique joue un petit rôle sur l’avenir d’un lutteur, mais c’est cas même à prendre en compte. Le mystique permet de vaincre psychologiquement son adversaire avant même le combat. Rappelez-vous du passé de Lac de Guiers 2, un lutteur qui faisait peur à cause de son mystique. Cette peur a joué sur ces victoires lors de la CLAF. Ce facteur est donc à prendre en compte.
- Une hygiène de vie : cela ne concerne pas seulement la lutte, mais tous les autres sports. Yekini L’actuel « roi des arènes » se jouit dès fois d’avoir passé plus d’une dizaine d’années sans entrer dans une boite de nuit. Manga 2 vous dira certes la même chose à savoir « sacrifier sa jeunesse en faveur ce sport qui est sa raison d’existence.
Voici quelques secrets parmi tant d’autre permettant de permettre à un lutteur de s’imposer sur ce sport à la sénégalaise.
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