A cette question provocante, de nature médiatique, l’on ne peut certes d’emblée donner de réponse lacunaire, monosyllabique, mais plutôt de tenter de mettre en évidence, en relation avec les besoins physiologiques du nouveau-né humain, les propriétés du lait maternel en le comparant paramètre par paramètre à celle de sa substitut le plus fréquent le lait de vache et les préparations lactées pour les nourrissons du premier âge.
Le lait liquide biologique spécifique de la classe des mammifères, secrété par les glandes mammaires douées d’une prodigieuse activité biosynthétique, représente la voie originale par laquelle la mère subvient aux premiers besoins de son délicat nouveau-né.
La durée de dépendance du jeune mammifère vis-à-vis de sa mère est très variable selon les espèces et en rapport avec sa plus ou mois grande immaturité néonatale.
Parmi d’autres facteurs, tels la protection contre les agents extérieurs ou le maintien de la température corporelle, la lactation constitue la contribution maternelle nécessaire à la survie, au développement à la croissance de sa descendance l’équilibre et l’avenir d’un enfant dépendent dans une large mesure de la diététique néonatale et des premières années. Ainsi dés les premiers jours du berceau la possibilité de bénéficier d’une alimentation équilibrée offerte dans les conditions optimales est un privilège capital et permet au nouveau-né de réussir au mieux son entée dans la vie active.
D’où l’importance de lait qui représente le premier relai alimentaire entre la vie intra-utérine et la vie terrestre ?
En effet, sang et lait sont apparentés au double point de vue de composition et signification physiologique par ce que les constituants du sérum du sang se retrouvent dans le lait par la suite, et qui est secrété par les glandes mamelles, il est considérer comme un prolongement physiologique.
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