Depuis mai 2011 plus de 1 200 médicaments ne sont plus remboursés qu’à 30% au lieu de 35% par l’Assurance maladie. Ces médicaments tels que le Spasfon, le Smecta, la Biseptine et bien d’autres représentent un quart des prescriptions médicales. Il s’agit en plus de médicaments d’usage fréquent, ce qui aura un impact important sur de nombreux Français. Face à ce désengagement, la Mutuelle Générale de Paris, mutuelle complémentaire santé, met en place des mesures importantes pour couvrir ses adhérents.
Le quart des prescriptions médicales sont moins bien remboursées par l’Assurance maladie
Ces médicaments, qui voient leur remboursement diminuer de 35% à 30%, représentent le quart des prescriptions médicales sur une année. Cette mesure de l’Assurance maladie, prise en mai 2011, a donc des conséquences pour l’ensemble des Français qui ont sans doute utilisé ou qui utiliseront un de ces médicaments. De plus, à ces mesures sur les médicaments s’ajoutent des baisses de remboursement portant sur des dispositifs médicaux comme les pansements, les cathéters, les attelles, les valves cardiaques, l’optique. Ainsi la prise en charge de l’Assurance maladie sur ces matériels passe de 65% à 60%.
Prise en charge par la Mutuelle Générale de Paris de ces baisses de remboursement
Ces mesures ont un impact fort pour les Français sans pour autant résoudre le problème du déficit de l’Assurance maladie. L’économie de 110 millions d’euros, que représente ces mesures pour l’Assurance maladie, est en effet faible par rapport au déficit de 20 milliards d’euros prévu pour 2011. La Mutuelle Générale de Paris se doit donc de réagir à ces mesures qui vont à l’encontre du bien être des patients. C’est pourquoi, par le biais de ses différentes prestations, la Mutuelle Générale de Paris prend en charge la baisse du niveau de remboursement afin de préserver la santé mais également le pouvoir d’achat de ses adhérents.
Économie et travail
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