Voitures

Voyage entre les éléments fondamentaux d’un go-kart de compétition

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  • 10 mars 2008

Souvent on monte pour la première fois sur un go kart par la location en piste. Beaucoup de personnes se sont approchées ainsi à la discipline, en passant d’un moyen amatoriale à un plus avancé. Mais avant d’accomplir ce pas, il faudrait mieux connaître les composantes de nôtre kart, de façon à en avoir une maîtrise telle à lui faire faire ce que nous voulons. C’est le pilote qui doit adapter le moyen à son style de guide, rien se passe en automatique.
Nous commençons avec l’exploration du squelette de notre moyen : le cadre. Il est formé d’un ensemble de tubes en acier soudés à fil, d’épaisseur moyen qui va des 28 aux 32 millimètres. Les cadres destinés aux compétitions peuvent être sujets à des diverses modifications, entre lesquelles nous trouvons la régulation de la chaussée, l’hauteur de terre, dureté de l’axe et les angles des roues, donc camber, caster et la convergence. En passant aux moteurs, nous pourrions écrire à l’infinie.
C’est important, donc, en faire une distinction. Ils existent les moteurs 4 temps (4T) et les deux temps (2T). Habituellement, le 4T ont puissance très limitée et sont employés pour la location ou pour les compétitions de durée.
Les moteurs 2T de 100 cc ont une puissance qui varie de 27 à au-delà à de 30 chevaux. Grâce cependant au poids réduit des moyens, les prestations en compétition sont vraiment hautes.
Ils existent ensuite les moteurs 2T de 125 cc, qui se distinguent dans racing et tag. Racing vont sur les 40 chevaux, pendant que les Tag sont plus limés pour en augmenter l’affidabilité. Vraiment ces derniers ont allumage électrique et friction centrifuge. En effet TAG est pour Touch and go. Simple manière pour indiquer un type de kart qui limite beaucoup les coûts de gestion et d’un entretien.
Tous les moteurs, en subissant une forte sollicitation, ont besoin d’entretien. Pour qui fait compétitions, il faudrait substituer le piston chaque 5 heures de j’utilise. En outre, chaque deux pistons changés, on fait des révision de tout l’apparat qui comprend même les tampons, la bielle et la cage roulements. Pour les rechanges, je conseille de donner un coup d’oeil prés de l’e-commerce de Righetti Ridolfi, une des entreprises avec plus d’expérience pour la construction de composantes du kart.
Pour finir, donnez-vous aux pneumatiques l’importance qui méritent et vous ne sousestimez pas quelques perspicacités utiles à leur entretien. Les roues ont la tâche de décharger toute la puissance du moteur à terre. Considérez les donc comme les chaussures d’un athlète. Celles postérieures doivent toujours garantir une très bonne tenue, puisque sont les directes intéressées en phase d’accélération et freinée.
Je me recommande, attention aux pressions des gommes, un élément très important. Avec la pression trop basse le pneumatique adhère seul avec les côtés a l’asphalte, donc la tenue est mineure. Au contraire, avec une pression trop haute, on risque de glisser fin trop sur l’asphalte, en défavorisant la stabilité du kart. Vous devez tenir la pression de base entre 0.6 et 1 bars.
Je me recommande, à fine journée, après avoir utilisé le kart, dégonflées les gommes pour éviter qu’ils se déforment. Démontes les et conservez les dans un lieu frais et sec.

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