Santé et bien-être

La MTA classe la Tunisie comme un pôle mondial de chirurgie esthétique

Le tourisme médical est, de nos jours, un secteur d’activité fort en termes de demandes enregistrées annuellement sur ses différentes prestations, mais aussi en termes d’offres avec une grande diversification de services offerts et la délocalisation que connait ce domaine passant des pays développés aux nouveaux pays émergents du sud. C’est ainsi que la Tunisie se classe comme une destination idéale pour la chirurgie esthétique bon marché.
La Tunisie, un pôle médical mondial selon la MTA :
C’est l’association américaine « MedicalTourism Association – MTA » qui vient de confirmer ces changements enregistrés au niveau de la carte mondiale des destinations touristiques médicales depuis l’émergence de nouveaux pays qui se spécialisent chacun dans des soins médicaux précis.
Ces divulgations ont été confirmées par Jonathan Edelheit, patron de l’association américaine, qui a ajouté que la chirurgie esthétique en Tunisie est devenue l’un des principaux piliers de l’économie locale de ce pays. En effet, la MTA a confirmé que l’époque où les patients riches se rendaient en Allemagne ou en Suisse pour avoir des soins médicaux de qualité est bel et bien une réalité du passé puisque le touriste médical est, de nos jours, plus intéressé par les soins lowcost offerts par les pays émergents notamment ceux du sud qui ont décidé de se spécialiser précisément dans la chirurgie plastique, les soins dentaires, les traitements de fertilité et la chirurgie anti-obésité.

‘‘Il y a 10 ans, il n’y avait encore que cinq ou six destinations proposant des soins aux étrangers.. Aujourd’hui, il y en a plus de 100.’’C’était la déclaration de monsieur Edelheit, citée par le site suisse Larguer, qui vient donner une image plus claire sur cette nouvelle tendance mondiale surtout que le nombre de touristes médicaux dans le monde avoisinait les 38 millions par an formant ainsi une des industries les plus influentes dans l’économie mondiale avec une valeur de 60 milliards, que la Tunisie empoche une bonne partie d’eux grâce à sa qualification comme un pôle de chirurgie esthétique dans le monde.

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